Business ou spiritualité
Le business, pour que ça fonctionne, dit Mika, il faut être très motivé. Alors, suis-je motivé ? Je ne crois pas, ou pas assez. Ou peut-être que je n’ai pas les bonnes motivations, qui correspondraient à nos besoins, parmi les 6 besoins que cite Mika Denissot : la certitude, l’incertitude (la variété), l’amour et la connexion, la reconnaissance, la croissance et la contribution. Où se trouve le besoin d’argent parmi ces 6 besoins ? Dans le besoin de certitude (ou de sécurité) probablement. Selon le test, mon besoin principal est la contribution, et l’autre besoin important est l’incertitude. Mais je n’ai pas encore écouté les vidéos qui concernent ces besoins. Il faut que je les écoute pour mieux les comprendre. Pour faire du business, il faut peut-être avoir le besoin de certitude dans ses besoins principaux.
Ce qui m’intéresse, c’est de découvrir ce qu’il restera du business dans un monde sans argent. Existera-t-il toujours ? Ou aura-t-il un autre nom ? Car, étymologiquement, business vient de busy. C’est un état d’agitation constante, d’activité effrénée, et bruyante, sans répit. On est encore loin d’un monde plus spirituel, dans lequel les besoins à assouvir seraient plutôt la tranquillité, le silence, et le détachement du matériel et des profits qui le génèrent. En fait, c’est surtout cela que j’ai envie de trouver dans cette formation, et c’est probablement ce qui me concerne vraiment. Quels sont les outils et les stratégies qui permettent de faire du business avec succès, mais qui pourraient permettre aussi de contribuer à un monde plus spirituel.
6 juin 2021, Khanom